Venise, 1523. Les entremetteurs scintillaient par-dessous la éclairage pâle des lanternes suspendues aux façades des palais. Les eaux dormantes reflétaient les obscurcissements mouvantes des gondoles qui glissaient dans un silence brisé simplement par le clapotis fréquent des rames. Au cœur de cette grande ville intérieure, où les voilages cachaient plus que des traits, la voyance s’insinuait dans les recoins les plus inattendus, imprégnant l’air de prévisions surnaturels. Dans l’atelier de cristal de la famille Contarini, les exigences dansaient par-dessous le connaissance des bijoutiers, reformant le sable en une matière d’une pureté omnipotente. Lorenzo Contarini, héritier d’un apprendre familial, créait des miroirs d’une haut niveau inégalée, avec lequel la précision dépassait tout ce que l’Italie avait vécu jusque-là. Mais depuis 8 semaines, il percevait dans ses œuvres une évènement déchirant. La voyance, qui jusqu’alors lui avait semblé représenter une discipline réservé aux cartomanciens et aux visionnaires, prenait un modèle nouvelle par ses réalisations. Chaque rafraîchissement achevé lui renvoyait des vidéos qu’il ne reconnaissait pas, des scènes qui ne se déroulaient pas appelées à lui, mais ailleurs, dans une vie non sûr. Au départ, il avait cru à une caricature provoquée par la trouble, un divertissement de aurore altérant sa perception. Mais la voyance persistait, abonnant dans les reflets des fragments d’événements qui ne s’étaient toujours pas produits. Les premiers astres étaient jolis : un modèle déplacé premier plan même qu’il ne le touche, une ombrage sondant coccyxes lui tandis que individu n’était entré dans la pièce. Puis les intuitions s’étaient précisées. Un journée, il avait vu le cristal tomber au sol premier plan qu’il ne lâche l’outil qui le tenait. Une autre fois, il avait concept un bouille secret dans un hublot fraîchement poli, premier plan de le croiser dans la rue huit ou 9 heures après. La voyance s’était incrustée dans son job, le poussant à remettre en question la nature même de son art. Ses miroirs n’étaient plus exclusivement des accessoires de luxe destinés aux palais et aux salons de dessus du panier culture. Ils étaient devenus des fenêtres ouvertes sur l’invisible, des surfaces où le temps se reflétait sous une forme insaisissable. Les commandes affluaient, tout altruiste de venise désirant façonner un de ces miroirs d’une majesté inquiétante. Mais Lorenzo savait que sa efficace n’était non seulement due à la qualité du verre. La voyance imprégnait ses créations, et ce qui se regardaient dans ses miroirs en ressortaient troublés, incapables d’expliquer la sensation fugace d’avoir concept des éléments d’autre qu’eux-mêmes. Un soir, dès lors qu’il achevait une viatique d’une observation dévastatrice, la luminosité des chandelles vacilla dans l’atelier, projetant des obscurcissements mouvantes sur les murs en pierre. Il observa son dernier chef-d’œuvre, prêt à représenter livré au palais d’un facile marchand. La voyance s’y manifestait une fois de plus, mais cette fois, le symbole qu’il y vit n’était non exclusivement une méthode fugitive. C’était une scène nette, claire et nette, gravée dans le verre de la même façon qu'un souvenir déjà affronté. Dans le symbole, il ne vit pas son usine, ni même la grande ville qui l’entourait. Il aperçut une galerie richement décorée, illuminée par des chandeliers dorés. Au noyau, un corps gisait sur le sol, invariable, une tache sinistre s’élargissant marqué par lui. Le vitre venait de lui présenter un avertissement qu’il ne pouvait ignorer. La voyance, par cette dessin troublante, venait de lui révéler un crime qui n’avait pas encore eu état. Il recula lentement, le conscience court, comprenant que ce qu’il venait de voir n’était pas une exemple. Chaque glace qu’il créait portait une partie d’un destin encore non accompli, un fragment d’avenir capturé dans la transparence du cristal. Venise, grande ville de masques et de mystères, venait de lui faiblir un inspiré qu’il n’était pas dans l'assurance de de opter pour contenir.
Le soleil se levait à copie sur Venise, projetant une clarté pâle sur les médiateurs encore endormis. La cité s’étirait dans un calme trompeur, un équilibre fragile où n'importe quel rayon dans l’eau pouvait mettre en sommeil un religieux. Dans l’atelier de Lorenzo Contarini, le miroir porteur de voyance attendait, prisonnier d’une prophétie qu’il ne pouvait mêler pendant une longue période. L’objet n’était pas un commode chef-d’œuvre de verre soufflé. Il était une faille dans le tissu du futur, un témoin silencieux d’un destinée qui n’avait toujours pas pris forme. La voyance s’y était inscrite par exemple une marque éternel, une accord d’événements qui devaient se manifester. Mais Lorenzo refusait d’accepter cette fatalité. La loi de ne pas livrer le reflet ne suffirait pas à réchauffer ce qui allait regarder. La voyance, même entravée, trouvait très un chemin pour s’accomplir. Le radiation qu’il avait aperçu, cette scène de meurtre dans une salle flamboyante, n’allait pas s' ôter librement parce qu’il refusait d’être son messager. L’avenir s’imposait incomparablement à ceux qui tentaient de l’éviter. Il observa une dernière fois le reflet, cherchant une réponse dans l’éclat régulier de sa surface. La voyance, si elle lui avait hébergé une méthode, devait entre autres lui avoir laissé une issue. Il fallait interpréter au-delà du rai, comprendre non seulement ce qui était montré, mais encore ce qui ne l’était pas. Le masque système dans le verre était la explication. Ce personnalité, sobre mais omniprésent, n’était pas un désinvolte changement de décor. Il représentait un espace diminue de la noblesse vénitienne, une élite qui se réunissait postérieur des façades dorées, marqué par l’anonymat des festivités et des complots murmurés dans les couloirs des palais. La voyance lui indiquait une piste, un fil ténu qu’il devait faire évident que l’inévitable ne se produise. Il devait déterminer cette amphithéâtre premier plan qu’elle ne devienne le théâtre du crime proclamé. Le soir venu, alors que Venise s’illuminait de milliers de chandelles, il quitta son ateliers en navigation des arrondissements les plus fastueux de la ville. Les réceptions battaient leur plein dans les palais de la noblesse, où le marbre et l’or brillaient sous la lumière des moments douloureux. Derrière tout masque, des jeux d’influence se jouaient dans un silence feutré. Il savait où il devait surfer. Le palais où le symbole devait sembler livré organisait ce soir une réunion superbe. C’était là que la voyance l’avait conduit. Là que le reflet concept dans le verre prendrait vie. Il se fondit au niveau des consommateurs, gravitant dans un décor où chaque frimousse dissimulé portait une sollicitation énigmatique. Il observa les salles, recherchant celle qu’il avait vue dans son liégeois, creusant n'importe quel détail à la lumière vacillante des bougies. Et pour finir, il la trouva. Les colonnes de marbre, les tapisseries pourpres, la explication tamisée des chandeliers… Tout correspondait. La voyance ne lui avait pas menti. Il était arrivé évident que le crime ne soit commis. Il s’attarda dans l’ombre, empruntant la voie de les convives, recherchant qui, parmi eux, était la victime annoncée. Chaque mouvement, n'importe quel banque, lui paraissait chargé d’une tension inapparent. La voyance, si elle lui avait montré un instant figé de la destinee, ne lui avait toujours pas révélé qui en était l’acteur fort. Alors, il aperçut la toile. Le même que celui vu dans son glaçon. Un frisson parcourut son échine. La voyance l’avait guidé jusqu’ici, mais à l'heure actuelle, il était isolé tête à un destin déjà tracé. Il ne pouvait pas fuir. Il ne pouvait pas bannir les yeux. Car cette fois, c’était votre compétence qu’il vit dans le reflet, celui d’un espèce humaine qui comprenait enfin que l’avenir ne se lit pas seulement… Il s’accomplit.